Mohamed Faouzi Zrelli, directeur central administratif et financier de la SITEP est cloué dans un lit d’hôpital avec ses deux jambes fracturées. Il avait voulu fuir la foule qui avait envahi la salle de réunion au gouvernorat de Tataouine ce week-end. Il a donc sauté du premier étage, le premier délégué a eu plus de chance que lui, puisqu’il s’est balancé aux rideaux et s’en est sorti avec…un bras fracturé.
Tout est transitoire sauf la sécurité et à ce train là toutes nos compétences et nos hauts responsables vont démissionner par peur de subir des sévices physiques des foules no maîtrisées et non convaincues par le discours officiel.
Le gouvernement de transition compte t-il les protéger ou les laisser en pâture ?