Avec les pétrodollars du Qatar… et du coup, Neymar démarre!

Une petite journée d’exportation de pétrole qatari rien que ça ! C’est ce que vaut le coût du transfert de NEYMAR du BARCA au PSG; une poignée de barils, une véritable broutille noyée dans l'”indéssence” du monde des pétrodollars.

Chacun fait ce qu’il peut pour être et paraître et utiliser les moyens disponibles pour répondre aux querelles familiales –comme l’a si bien dit BCE: On connaissait la diplomatie souterraine, la parallèle, celle des alcôves et voilà maintenant celle du ballon rond.

Imaginez les supporters du PSG avec un maillot OOREDOO qui crient en chœur: «LES SAOUDIENS ON S’EN FOUT. NOUS ON AIME NEYMAR ET SON FOOT».

Et chaque victoire du PSG risque de se transformer en une manière de contribuer à la destruction du blocus wahhabite.

Ils ne sont pas nombreux les Qataris mais ils ont compris la machine et son fonctionnement et semblent même s’inspirer d’un autre peuple qui lui a créé et organisé la notion de service à travers le monde depuis quelques millénaires mais qui a eu la mauvaise idée de se faire créer un pays qui a à peu près le même âge que le QATAR… Et peut-être la même durée de vie!

Alors LES QATARIS, pressés, essaient de rattraper le temps perdu et veulent faire vite même très vite: recruter des pasts présidents, déstabiliser des pays, acheter les autres et surtout exister, mais tout ça n’est pas si facile surtout quand on s’attaque à de vieilles civilisations. N’est-ce pas ELYSSA?

Et faut-il le répéter à ces jeunes politiciens inexpérimentés : exister, c’est le plus dur car NEYMAR prendra de l’âge, le pétrole s’épuisera, les pasts présidents finiront à l’asile, les autres amis d’aujourd’hui leur tourneront le dos, et l’Histoire broiera d’une manière imperturbable toutes ces incongruités et autres déchets impropres à la consommation…

Mais trêve de pessimisme, laissons les Parisiens se régaler de leur nouvelle recrue et les jeunes rêver de NEYMAR et le foot reprendre ses lettres de noblesse en espérant qu’il ne se noie pas dans un océan dollarisé!