Loi de protection des sécurités : La Garde nationale accuse le Parlement

Le syndicat général de la Garde nationale tient le parlement pour responsable de la non adoption de la loi portant protection des sécuritaires et de leurs familles.

Dans la déclaration finale de son Assemblée générale tenue à Sousse les 1er et 2 avril, le syndicat a appelé à l’activation du Fonds des accidents de travail et demandé aux autorités de tutelle d’accélérer le règlement définitif de l’annexe des promotions des sécuritaires qui ont déployé des efforts louables dans la lutte contre le terrorisme.

L’Assemblée générale du syndicat général de la Garde nationale a été l’occasion d’annoncer la création du Centre des études stratégiques du syndicat. Il a été également convenu de créer des commissions dont une commission pour la promotion de l’action syndicale et une commission mixte pour l’amendement du statut du syndicat.

Le projet de loi portant création des sécuritaires et de leurs familles a été adopté en conseil des ministres le 8 avril 2015 et a été soumis à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) pour examen.