Après la série de démissions au sein de l’Instance Vérité et Dignité, avant même l’entrée en fonction de l’IVD, on cite le départ de Noura Boursali, Azzouz Cahwali et Khémais Chammari; Sihem Ben Sedrine est pointé du doigt pour sa gestion de l’Instance, ses dépenses jugés ostentatoires dans un pays en difficulté notamment l’achat de voitures de marque qu’elle explique d’une manière maladroite en affirmant que ce n’était pas son choix mais “une obligation légale” (pour rappel le prix de la voiture de la présidente est de 130.000 dinars).
Pour appuyer l’achat de ce type de voitures, elle cite la réaction de victimes dans les régions qui lui ont demandé “de ne plus venir en voitures de location, mais des voitures confortables de l’instance”.