Drapeau déchiré, journaliste agressé et le doyen séquestré

Dans un communiqué publié  mercredi 7 mars, la présidence de la république a qualifié l’offense envers le drapeau tunisien de crime perpétré contre la patrie et les martyrs.

Il s’agit d’une «attaque menée contre l’un des symboles les plus importants de l’université nationale et de la conscience citoyenne».

Le président provisoire Moncef Marzouki a appelé les autorités sécuritaires et judicaires à réagir face à cet incident avec la plus grande vigueur et fermeté.